Pour l’instant, nous sommes toujours en Méditerranée et surtout toujours en Europe. Les îles Baléares sont une communauté autonome de l’Espagne et il n’y a donc pas de formalité d’entrée particulière quand on y arrive en bateau.
De plus, nous n’avons pas été au port une seule fois depuis notre arrivée dans l’archipel (trop cher et surtout toujours complet), donc nous n’avons pas eu de dossier à remplir pour une éventuelle place à prendre. Nous n’avons jamais été accosté par les affaires maritimes (sauf en notre absence car nous n’avions pas mouillé dans la bonne zone, devant Palma). Certains mouillages sont en effet très réglementés, en fonction notamment de la flore sous-marine (posidonies), mais ce n’est pas toujours bien indiqué. D’autres sont seulement accessibles si on s’amarre à une bouée, présente sur place. Nous ne l’avons jamais fait car la plupart du temps, c’est évidemment payant, voire même réservé d’avance.
Pour ce qui est de nos forfaits téléphoniques et internet, nous utilisons encore ici nos forfaits français (SFR pour Damien, Free pour Anaïs). Ils nous permettent encore ici d’appeler gratuitement vers la France en composant le +33 (ou localement avec le +34) ainsi que vers toute l’Europe. Nos SMS/MMS sont illimités vers ces destinations et nous pouvons aussi nous connecter à internet (les Go attribués dépendent là de nos deux forfaits). Cela nous suffit amplement, nous n’avons pas du tout l’impression d’être à l’étranger car en plus, le réseau aux îles Baléares se reçoit plutôt bien la majeure partie du temps. Nous n’avons pas eu de souci particulier pour recevoir des appels ou nous connecter, notamment à Minorque ou à Majorque. Par contre, à Ibiza, nous recevions moins bien voire même pas du tout à certains endroits, même si un port se trouvait dans la calanque suivante.
On peut donc travailler sur le blog et poster à volonté via la tablette d’Anaïs, une Microsoft Surface qui est notre unique ordinateur de bord (si on ne compte pas le Raspberry de Damien pour la navigation). On connecte la tablette en wifi au téléphone et on partage la connexion internet.
Après, nous quitterons l’archipel pour naviguer le long de la côte espagnole afin de rejoindre Gibraltar. Là encore, nous n’aurons probablement pas de formalités administratives spécifiques lorsque nous mouillerons dans les parages ni problème particulier pour utiliser nos téléphones. Nous verrons bien par la suite !
Bonjour. Bravo pour votre site ! Je vais, de ce pas, voir votre chaîne YouTube … ;o)
A + Yo²
Merci beaucoup ! 🙂